. Je ne sais plus trop ou j'en suis à vrai dire. J'ai finit mes
concours. Je ne suis pas mécontente que tous ça soit enfin
terminé. Je suis sur de les avoir
raté. Je m'en veux car c'est
mon avenir. Mais d'autant plus que
ma famille y croit & qu'ils se sont
investit dans ces études. Ces
regrets de ne pas avoir mieux fait, de n'avoir pas plus travailler.. pour eux. Oh oui qu'est-ce que ça peut me
peser. Et chaque fois que le sujet est abordé,
ma gorge se noue et je dévie habilement le sujet. Tôt ou tard
les résultats seront la, et je devrais les
assumés, je devrais
supporté le regard de ceux qui ont y on crus.
. En attendant je dois me
bougé. J'ai plus que quelques mois pour passé ce foutu
code et le
permit quasi-en même temps. Si seulement cette
envie, ce
besoin de circuler librement par mes propres moyen pouvait me motiver.. mais il n'en est rien. Je ne peux pas dire que la signalisation ou la conduite
me passionne.
. Et puis il y à
mon père. Ou doit-je dire mon père et son fichue
cancer. Ca va faire
trois mois que nous avons apprit sa présence et bien plus qu'il
siège dans les poumons de mon père. Aujourd'hui j'aborde les choses plus
calmement, mais ce na pas était toujours le cas durant ces trois mois. A vrai dire je crois être passé par
toute les phases. Je crois avoir était tout d'abord
dépité par cette nouvelle peu commune et
dévastatrice. Mais je n'ai pas voulu trop m'avancer, ne pas paniqué et porter des conclusions attives sans savoir. Puis
les examens ont défilé et
verdict est enfin tomber :
Cancer des bronches stade 3 à non petites cellules, inopérable (autant dire 20% de chance de survie). J'avoue être rester
de marbre en apparence. Il parait qu'il ne faut pas montrer son
désespoir à la personne touché par la maladie. Intérieurement j'étais
anéantis. Je crois n'avoir
jamais pleurer autant de peur de le perdre. Mais il ne partira pas.
Pas maintenant. J'aimerais être plus proche de lui. Partager
plus. Comprendre son ressenti. L'aider à se battre et à se relever. Les relations parents => enfants ça n'a jamais était ça dans ma famille. Aujourd'hui
j'ai espoir que la chimio et les rayons fonctionne.
Je veux y croire. J crois. Sans vouloir me trouver des excuses, je crois que cette
sinistre nouvelle à jouer un grand rôle dans mes concours. C'est triste d'être aussi
démunie face à quelques choses qui nous dépasse.
. Côté
coeur je dois avouer que ce n'est pas le
Nirvana. Je n'ai quasiment
plus confiance en lui & il n'a lui aussi pratiquement plus confiance en moi. Je suis devenu d'une
jalousie presque
maladive. Ca me bouffe la vie. Loin de lui je ne rêve que d'une chose être à ses côté. Mais une fois ensemble, mes
moments de solitude deviennent
indispensable, et sa lourdeur
me fatigue. On a des projets tout les deux. Je ne sais pas si vivre à deux sera possible,
je ne pense que je supporterais.